Test de BerryBoot
Histoire de jouer un peu plus avec mon Raspberry Pi, j’ai essayé BerryBoot. Pour rappel, BerryBoot est un mini-système permettant de faire du multiboot sur le RaspBerry.
Histoire de jouer un peu plus avec mon Raspberry Pi, j’ai essayé BerryBoot. Pour rappel, BerryBoot est un mini-système permettant de faire du multiboot sur le RaspBerry.
Aprés avoir rajouté 80Go d’espace a mon cluster, j’ai entrepris de me créer une partition de 4Go. Ca se présentait plutôt bien, jusqu’au formatage de la partition. En effet, avant d’arriver au bout, mon a eu une longue agonie qui s’est soldée par un kernel panic.
Pas glop.
C’est a ce moment que j’ai réalisé que mon pc n’avait que 256Mo de RAM et que celle-ci était déjà occupée à presque 100% au repos.
Histoire de s’occuper pendant les froides nuits d’hivers, j’ai décidé de me monter une petite console de jeux rétro. En l’occurrence c’est extrèmement simple puisqu’il existe des projets tout faits pour le Raspberry Pi comme RetroPie.
Ensuite, j’ai acheté deux manettes Controller EAXUS Double Shock II. C’est pas luxueux, mais ça fonctionne plutôt bien.
Et à moi les soirées endiablées, pleines de compétitions entre amis et saupoudrées d’un peu de nostalgie.
Histoire de pouvoir faire quelques essais plus funs, j’ai entrepris de renforcer mon cluster Ceph comportant actuellement deux clés USB de 8 Go chacune, avec une centaine de Go trainant sur mon disque.
HubiC a changé ses interfaces. Il n’est plus possible de s’y connecter en WebDAV. En échange, HubiC expose une interface compatible Swift.
Duplicity sait accéder à des stockage Swift via la bibliothèque python-cloudfiles. Malheureusement, cette bibliothèque ne supporte pas la méthode d’authentification de HubiC.
Ceci dit, on trouve une contribution qui propose une version de cette bibliothèque avec un support de l’authentification HubiC : https://github.com/Gu1/python-cloudfiles-hubic
Pour s’en servir, il faudrait l’installer. Et comme j’aime pas installer hors des paquets Debian, j’ai modifié le paquet officiel pour y rajouter ce patch.
Ce week-end, c’était l’édition 2013 de Capitole du Libre.
http://2013.capitoledulibre.org/
Voici quelques infos sur les conférences auxquelles j’ai assistées.
L’intervenant rappelle l’histoire de ce logiciel, amorcé par une société en 2006 qui a dus fermer 7 ans plus tard, mais qui a libéré la totalité du code en 2013.
Sans doute grace à cette aventure commerciale, la présentation du logiciel est plutôt bien “léchée” :
Et voilà, j’ai acheté mon nom de domaine : bonnefille.net.
Grace aux services de Gandi, j’ai pu effectuer mes premières redirections :
Histoire de prendre un peu le frais, nous sommes partis passer un court séjour dans l’Aude.
Nous avons logé dans un gîte de france de Campserdou. Un gîte très spatieux, très propre et plutôt calme (on n’entends que les trackeurs).
En arrivant, à peine installé dans le gîte, nous avons fait une petite excursion à travers champs jusqu’au chateau de Puivert.
Jeudi, pour notre première journée complète sur place, nous avons suivi le chemin de Camelier. La météo automnale nous a conduis a mettre et retirer nos pulls une bonne dizaine de fois.
Depuis des années, je corrige systématiquement les fichiers générés par GPSbabel avant de les mettre dans mon GPS Magellan eXplorist 400. Ca commençait à bien faire. Du coup, j’ai envoyé un patch au projet afin de rajouter la ligne manquante. Et le patch a été accepté. La prochaine version sera donc nickel.
Avec mes aventures récentes, j’ai largement fait appel au réseau de secours FreeWifi. Du coup, j’ai modifié mon script de connexion automatique pour l’utiliser autrement qu’avec NetworkManager.
Finalement, j’ai ouvert un projet sur GitHub : http://github.com/guyou/freewifi.