Installation adaptateur WIFI OP-W54PCI sur Debian
Après le test concluant du WIFI chez moi avec un adaptateur WIFI en prèt, j’ai investi dans un adaptateur PCI : OP-W54PCI de chez OvisLink.
Après le test concluant du WIFI chez moi avec un adaptateur WIFI en prèt, j’ai investi dans un adaptateur PCI : OP-W54PCI de chez OvisLink.
J’en avais marre d’être mal installé dans mon bureau pour regarder mes DVD (ben oui, je n’ai qu’un lecteur DVD pour ordinateur). J’ai donc décidé d’utiliser le FreePlayer proposé par Free.
Histoire de continuer mes essais, j’ai décidé d’installer tout le bazar directement sur ma Debian GNU/Linux opérationnelle. Le bazar en question est un adaptateur WIFI USB affichant « 802.11g Wireless LAN USB Adapter »
Au fil de mes mises à jour en testing, j’ai remarqué la disponibilité d’un noyau linux 2.6.12. Sans trop savoir ce qu’il contenait comme modif, je l’ai installé pour tests car il est supérieur au 2.6.11. Oui, et alors me direz-vous. Eh bien depuis mon 2.6.8, une de mes deux cartes réseau ne fonctionne plus. En fouillant le net, j’ai fini par trouver un aveu et une promesse de correction pour le 2.6.11.
Ma télé est loin, très loin de ma télé. Plus exactement, deux mètres plus loin que mon cable vidéo (Rrrh). Du coup, les DVD sur la télé ça le fait pas souvent (ben oui, mon unique lecteur DVD est sur mon ordi). Puis est arrivé le FreePlayer. Mais là, comme Nathalie ne verrait pas d’un très bon oeil des cables ethernet traversant la maison pour relier le bureau au salon, le WIFI est devenu une solution très intéressante.
J’ai donc décidé de tester ce machin chez moi, avec le concours d’un ami qui a bien voulu me préter son matériel : une carte PCMCIA pour la FreeBox et un adaptateur USB pour le PC.
Bon, comme je fais de plus en plus de modification de la configuration de mon GNU/linux, j’ai décidé de gérer /etc en configuration.
Plus précisément, cela signifie que je souhaite garder un historique de toutes les modifications que j’y apporte, de façon à pouvoir faire marche arrière facilement si besoin. En plus, cela permet de vérifier facilement si la configuration change et dans quelle mesure (soit pour traquer un pirate, soit pour mieux appréhender le fonctionnement de l’ensemble).
Ca y est, nous venons de recevoir notre Magellan eXplorist 400. J’ai été très agréablement surpris en constatant que cet objet communique parfaitement avec Linux.
Ca y est, je viens de franchir le pas : après des années de bons et loyaux services, je viens de remplacer lilo par grub.
Grace à cet article, j’ai pu découvrir l’existence des planètes. Je vous invite à lire l’article pour découvrir de quoi il retourne.
Celles qui ont le plus attiré mon attention sont :
Concernant la seconde, les inscriptions sont ouvertes si vous respectez les conditions.Enfin, l’idée des planètes me semble tellement intéressante que j’ai créé une entrée dans le système de suivi de LinuxFr pour en faire ajouter un sur ce site. Si vous trouvez l’idée intéressante, je vous invite à aller voter par l’intermédiaire de cette page.
En parcourant le web, j’ai découvert un article fort intéressant sur Debian-Administration.org.
Il traite de l’utilisation de udev
avec un noyau 2.6.x pour faire en sorte que les périphériques (dé-)branchables à chaud ( hotplug ) se voient attribuer systématiquement le même device.
En effet, qui n’a pas pesté contre ces bidules qui changent de nom en fonction de l’ordre dans lequel on les branche/débranche.
Bref, dans mon cas je dispose de deux périphériques que l’on peut qualifier de génériques ( no-name ).