Arrivée Lenovo X201
Un peu limité par la faible puissance de mes netbooks, je me suis laissé tenter par un portable (d’occasion). J’ai donc acheté un Lenovo x201.
Un peu limité par la faible puissance de mes netbooks, je me suis laissé tenter par un portable (d’occasion). J’ai donc acheté un Lenovo x201.
Histoire de pouvoir réutiliser pleinnement et sereinnement un portable Acer Aspire 3634WLCi, j’ai installé un XUbuntu en double boot.
Je n’ai rencontré que deux soucis majeurs à la sortie de l’installation (automatique) :
J’ai reçut mon nouveau smartphone : un BQ Aquaris E4.5 Ubuntu Edition.
Comme son nom l’indique, il s’agit d’un téléphone fonctionnant avec une version de Ubuntu pour téléphone : Ubuntu Touch.
Il y a quelques années, j’ai réalisé que la réelle révolution de la photo numérique n’était pas dans la quasi gratuité de la prise de vue, mais plutôt dans la très grande facilité qui nous était offerte de retoucher ces images pour les améliorer ou les transformer. Aussi, je me suis forcé à utiliser systématiquement le logiciel Gimp qui était (et est toujours) pas forcément des plus simples à manipuler. Oui, mais il n’y a pas de miracle, pour espérer un jour pouvoir faire quelque chose de réussi, il faut s’exercer, pratiquer encore et encore.
Au final, j’en suis assez content car chaque année j’ai pu réaliser quelques compositions plus ou moins réussies pour vous souhaiter nos voeux.
Et cette année, j’ai décidé de réapliquer la recette à la vidéo numérique. Et le logiciel que j’ai décidé de prendre en main se nomme : Blender.
Pour des raisons toutes simples de facilité, le serveur OCS du CIM utilise un certificat SSL autosigné. Et bien sûr ce type de construction pose un problème à l’agent OCSinventory qui refuse de télécharger les paquets à déployer depuis une source aussi peu sûre.
Il existe de nombreuses offres d’hébergement dans les nuages. Mais depuis que j’ai découvert HubiC, c’est clairement la solution que je privilégie. D’abord grâce à la capacité de son offre de stockage gratuite (25 Go à ce jour). Ensuite, car c’est une offre sur le sol français, ce qui peut être rassurant en terme de legislation (c’est au moins celle que je crois connaître). Mais aussi et surtout parce que je comprends le modèle économique basée sur la location d’espace de stockage, ce qui, même si ce n’est pas une garantie absolue, me permet de me dire que mes données personnelles y sont plus en sécurité que chez des gens qui vivent explicitement de la revente des informations qu’ils collectent sur moi.
Coté connectivité, vu les technologies employées, on trouve depuis bien longtemps des solutions pour se connecter depuis Linux. Mais il me manquait toujours une solution à la fois simple et riche fonctionnellement. C’est alors que j’ai découvert SwiftExplorer.
Ben voilà, j’ai amélioré mon auto-hébergement : j’ai créé un certificat SSL pour bonnefille.net. J’ai utilisé les services de StartSSL.
Et voilà, j’ai acheté mon nom de domaine : bonnefille.net.
Grace aux services de Gandi, j’ai pu effectuer mes premières redirections :