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Depuis un certain temps, Google a ouvert une API pour accéder à son service de calcul d’itinéraire. Il n’est donc plus nécessaire de se bagarrer au milieu du HTML pour trouver du json et essayer de l’interpréter.

Viking s’appuyant sur gpsbabel pour convertir un document téléchargé via une URL en quelque chose d’exploitable, j’ai donc entrepris de rajouter le support de ce format de Google dans gpsbabel. Après quelques itérations, mon patch a été accepté et intégré (après quelques retouches car gpsbabel est en plein chamboulement à l’heure où j’écris ces lignes). Ce patch ajoute un nouveau format nommé googledir.

Cette année, la Sainte Bonnefille (la cousinade du coté paternel) s’est déroulée dans les environs de Sauvain, dans la Loire.

Ce fût l’occasion de fignoler quelques zones de la carte OpenStreetMap dans la région.

Loin de la maison, j’ai souhaité me connecter à Internet via mon N900. Le cerveau en ébullition, calculant comment j’allais bien pouvoir configurer mon netbook (Ubuntu remix) et mon N900 (Maemo 5) pour partager la connexion 3G de mon forfait.

Je branche donc le câble USB, je choisi le mode “PC suite” et… et v’là t’y pas que Ubuntu me propose de configurer un “Connexion mobile à large bande”. Tien ? Je clique et lui donne les infos : Free pour le nom et free pour l’APN.

Depuis la montée de version du noyau linux en 3.2.0-1, je n’avais plus de WiFi. Il s’avère que mon chipset WiFi est piloté par un module propriétaire nommé broadcom-sta empaqueté sous le nom broadcom-sta-source. Or, depuis la 3.2.0 ce dernier ne compile plus.

# m-a build build broadcom-sta  
blablabla  
blablabla error: unknown field 'ndo_set_multicast_list' specified in initializer  
blablabla

En fouillant sur Internet, il s’avère qu’il s’agit d’un problème ancien, proche de celui-ci.

Le précédent run de m-a ayant laissé un modules/broadcom-sta déployé, j’ai fait la modification à la main dans src/wl/sys/wl_linux.c puis : m-a -k linux-headers-3.2.0-1-686-pae -O build broadcom-sta

Sitôt en poche, que le N900 s’équipe d’une des fonctions indispensables à mes yeux : un GPS exploitant les données OpenStreetMap. Ayant repéré la compatibilité au détour d’un lien, j’ai choisi de tester le logiciel Monav.

Ben voilà, j’ai craqué. Certains diront (et ils auront bien raison) que c’est un des effets de FreeMobile. En effet, pour exploiter le besoin récemment créé, il me fallait un Smartphone. Geek que je suis, j’ai donc cédé à une des sirènes qui résonnait depuis fort longtemps dans ma tête : un Nokia N900.

Au fil du temps, notre connexion ADSL s’est dégradée. Ces derniers temps, la freebox perdait la synchronisation au minimum tous les quarts d’heure et parfois pour une journée entière. On a donc fini par prendre le temps d’ouvrir un incident chez Free. L’aventure commençait donc.

J’ai pu mettre la main sur un HP mini 210. Malheureusement, l’écran était brisé : environ 50% de l’écran était inutilisable. A plus de 100€ l’écran de remplacement, fini la vie de netbook. Mais on ne peut pas jeter un ordinateur pour si peu.

J’ai suivi les conseils avisés d’un jardinier amateur (mais expert) et j’ai mis mes dernières tomates vertes dans un carton. Et ben, croyez-le ou non, les tomates ont mûries. La preuve en image.

Pour comprendre, au départ, elles étaient toutes aussi vertes que celle du coin.