La famille s'agrandit
Ben voilà, j’ai craqué.
Certains diront (et ils auront bien raison) que c’est un des effets de FreeMobile.
En effet, pour exploiter le besoin récemment créé, il me fallait un Smartphone. Geek que je suis, j’ai donc cédé à une des sirènes qui résonnait depuis fort longtemps dans ma tête : un Nokia N900.
Souvenirs, souvenirs :
- Palm IIIxe : acheté neuf à la Fnac, ce petit compagnon m'a rendu de bons services pendant des années. Par contre, l'absence de mémoire de masse était un vrai soucis.
- Sharp Zaurus SL-C700 : acheté d'occasion via Ebay car introuvable en France, ce petit compagnon japonais, plein de promesses, ne m'a jamais vraiment servi. Il a été le terrain de multiples expérimentations avec des OS qui s'installaient plus ou moins bien et qui fonctionnaient rarement aussi bien que l'OS d'origine.
- Openmoko Neo Freerunner : acheté neuf sur Pulster, lui aussi a été le théatre de beaucoup d'expérimentations mais est devenu mon téléphone exclusif avec QtMoko.
- Nokia N900 : acheté d'occasion via Priceminister car introuvable neuf, ce *petit* dernier viens remplir le nouveau besoin créé par l'arrivée de la 3G.
Je vous entends : « Pourquoi diable avoir choisi un smartphone aussi vieux ? »
D’abord, sur le plan matériel, c’est la convergence entre le Zaurus et le Freerunner : un téléphone, GPS, un périphérique WiFi, le tout avec clavier.
Ensuite, c’est un vrai GNU/Linux nommé Maemo, bien plus bidouillable qu’un Android, donc idéal pour un bidouilleur.
Enfin, sur le plan éco{nomique,logique}, c’est un petit geste en faveur de la décroissance.
Bon, voilà, il ne me reste plus qu’à découvrir ce nouveau monde de possibilités. Si vous avez des liens à me conseiller sur l’uilisation du N900 et/ou le développement de logiciels sur ce système, laissez donc un petit commentaire.
Le Neo Freerunner va donc quitter mes poches pour partir vivre une aventure collé au pare-brise de la voiture. Il me reste donc à le bidouiller afin de le dédier à cette fonction de GPS OpenStreetMap pour voir ce qu’on peut en tirer lorsqu’il est soulagé des divers logiciels qui constitue un smartphone. L’aventure ne devrait pas être moins intéressante, seulement différente. Fini de jouer avec le formidable QtMoko, fini d’énumérer les points d’amélioration de ce système. Il me faut maintenant choisir ma propre base de travail (Debian, SHR, Yocto…) et configurer tout ce qu’il faut pour qu’il fonctionne au poil.